Nous voila assis sur un baril de poudre,
Comme des statues de cire prets a se dissoudre,
Incapable de scier les barreaux de ta cage
Mais dis-moi pour qui te prends-tu pauvre singe?
Asphyxiés par les machines, le gaz en manque d'air le ciel nous écrase regarde nous abordons la phase terminale le point final de l'empire occidental
obligé de rester enfermé entre 4 murs tu n'pourras bientot plus mettre un seul pieds dehors, tu ne soupsonne pas ce que te réserve le sort, tant que sous ta porte ne passe pas encore
L'ODEUR DE LA MORT
Maitre au pouvoir et esclave a la fois tu finis par ne plus savoir que tu avais le choix car le fait essentiel que ta raison néglige c'est qu'en fait au fond personne ne t'oblige.